Dans le cadre du festival « Plateforme Danse 2018 », organisé par la Compagnie Art Mouv en partenariat avec la mairie de Bastia, se sont tout d’abord déroulés dans l’après midi des stages de danse Hip hop avec les danseurs du Collectif Jeu de Jambes.
En soirée, sur la scène, un spectacle intitulé : « Temps Danse Méditerranée ». Trois compagnies s’y sont succédées :
La compagnie ajaccienne Vialuni avec un spectacle plein d’émotion : « Tu DANSEs… et MOI « é moi » ? ». Ce projet «Danse et Handicap», réunit Michèle Ettori et des jeunes femmes se déplaçant en fauteuil roulant, résidentes de la structure A Casarella d’Ajaccio. La démarche de la chorégraphe Michèle Ettori est de « questionner la ligne de partage habituelle des capacités et incapacités de chacun à dire, à faire, à sentir».
Venue de Tanger (Maroc), la Compagnie Haraka a ensuite proposé au public « Ligne ». Dans ce spectacle où il est seul en scène, le danseur et chorégraphe Othman Sellami invente un micro monde imaginaire, un espace illimité et inaccessible, un temps incalculable et des millions de personnages identiques mais invisibles. « Ligne » révèle une réalité oubliée permettant de remettre en question son identité face à la réalité contemporaine.
Enfin sur une musique de Ravel, « Daphnis et Chloé », trois jeunes danseurs de la Compagnie Didier Théron (Montpellier) ont interprété LJHELM (Le Jeune Homme Et La Mort) ! Un drame, écrit sur un cercle pour trois danseurs, qui retrace trois parcours, ceux de trois jeunes gens, à tour de rôle et ensemble sur le plateau. Soutenu par une physicalité qui touche aux extrêmes, le ton de la pièce est à l’image de notre époque, profonde, pathétique, enthousiaste et ironiquement tragique…
Retour en images sur spectacle de grande qualité,,,
En soirée, sur la scène, un spectacle intitulé : « Temps Danse Méditerranée ». Trois compagnies s’y sont succédées :
La compagnie ajaccienne Vialuni avec un spectacle plein d’émotion : « Tu DANSEs… et MOI « é moi » ? ». Ce projet «Danse et Handicap», réunit Michèle Ettori et des jeunes femmes se déplaçant en fauteuil roulant, résidentes de la structure A Casarella d’Ajaccio. La démarche de la chorégraphe Michèle Ettori est de « questionner la ligne de partage habituelle des capacités et incapacités de chacun à dire, à faire, à sentir».
Venue de Tanger (Maroc), la Compagnie Haraka a ensuite proposé au public « Ligne ». Dans ce spectacle où il est seul en scène, le danseur et chorégraphe Othman Sellami invente un micro monde imaginaire, un espace illimité et inaccessible, un temps incalculable et des millions de personnages identiques mais invisibles. « Ligne » révèle une réalité oubliée permettant de remettre en question son identité face à la réalité contemporaine.
Enfin sur une musique de Ravel, « Daphnis et Chloé », trois jeunes danseurs de la Compagnie Didier Théron (Montpellier) ont interprété LJHELM (Le Jeune Homme Et La Mort) ! Un drame, écrit sur un cercle pour trois danseurs, qui retrace trois parcours, ceux de trois jeunes gens, à tour de rôle et ensemble sur le plateau. Soutenu par une physicalité qui touche aux extrêmes, le ton de la pièce est à l’image de notre époque, profonde, pathétique, enthousiaste et ironiquement tragique…
Retour en images sur spectacle de grande qualité,,,
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